- EAN13
- 9782375821978
- Éditeur
- Nouvelle Cité
- Date de publication
- 13/06/2018
- Collection
- Ce que dit la Bible sur...
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Ce que dit la Bible sur la vieillesse
Comprendre la parole biblique
Loïc Gicquel des Touches
Nouvelle Cité
Ce que dit la Bible sur...
Autre version disponible
-
Papier - Nouvelle Cité 13,00
La Bible ne nie pas les personnes de grand âge, au contraire...
La vieillesse aujourd’hui, dans les sociétés occidentales, est une saison de
la vie souvent mal aimée et qui fait peur. Or savez-vous que dans la Bible, le
grand âge est aussi un signe de bénédiction ? Ainsi, il est écrit que
Mathusalem vécut jusqu’à 969 ans ! La Bible ne nie pas la faiblesse physique,
la maladie, la tristesse, voire l’angoisse que vivent certaines personnes dans
le grand âge. Mais comme le montre l’auteur à travers quelques exemples, tels
Abraham et Sara appelés par Dieu à un âge très avancé, les personnes âgées
sont aussi appelées à une profonde fécondité spirituelle.
A travers cet ouvrage empli des spiritualité, découvrez comment la Bible
appelle les personnes âgées à une profonde fécondité spirituelle !
EXTRAIT
Loïc Gicquel des Touches, prêtre du diocèse de Séez (Orne), est diplômé de
l’Institut Biblique Pontifical de Rome. Tout en étant curé de paroisse
(Alençon), il enseigne l’Écriture Sainte au Centre d’Etudes Théologiques et au
Séminaire Saint Jean Eudes de Caen.
La vieillesse est imaginée avec infiniment de préci sion poétique par l’auteur
comme :
– la crainte qui gagne le cœur : ma maison est-elle assez bien fermée (au jour
où tremblent les gardiens de la maison) ? Le verset 5 évoque les « frayeurs en
chemin ».
– l’infirmité du vieillard (où se courbent les hommes vigoureux).
– les femmes (où s’arrêtent celles qui meulent). Et moudre le grain évoque le
blé, la vie ; en effet, l’une après l’autre, elles sont saisies soit par
l’infirmité, soit par la mort ; c’est toute une génération qui part.
– c’est enfin toute une série de verbes qui n’évoquent pas tant la mort que la
vieillesse qui est une tragique fermeture sur la vie, de quatre façons nous
dit Qohéleth : « sur la rue », sur le travail de l’homme (la meule), sur la
vie dehors (l’oiseau), sur la vie en société (les vocalises [c’est-à-dire les
chansons] s’éteignent). C’est du grand art !
Quant aux trois derniers versets, avec la même poésie d’une grande précision,
ils évoquent tout simplement la mort qui vient emporter le vieillard. Voyez
combien la vie est précieuse, car elle est décrite comme un fil argenté et une
coupe d’or qui se brise.
A PROPOS DE L'AUTEUR
Loïc Gicquel des Touches, prêtre du diocèse de Séez (Orne), est diplômé de
l’Institut Biblique Pontifical de Rome. Tout en étant curé de paroisse
(Alençon), il enseigne l’Écriture Sainte au Centre d’Etudes Théologiques et au
Séminaire Saint Jean Eudes de Caen.
La vieillesse aujourd’hui, dans les sociétés occidentales, est une saison de
la vie souvent mal aimée et qui fait peur. Or savez-vous que dans la Bible, le
grand âge est aussi un signe de bénédiction ? Ainsi, il est écrit que
Mathusalem vécut jusqu’à 969 ans ! La Bible ne nie pas la faiblesse physique,
la maladie, la tristesse, voire l’angoisse que vivent certaines personnes dans
le grand âge. Mais comme le montre l’auteur à travers quelques exemples, tels
Abraham et Sara appelés par Dieu à un âge très avancé, les personnes âgées
sont aussi appelées à une profonde fécondité spirituelle.
A travers cet ouvrage empli des spiritualité, découvrez comment la Bible
appelle les personnes âgées à une profonde fécondité spirituelle !
EXTRAIT
Loïc Gicquel des Touches, prêtre du diocèse de Séez (Orne), est diplômé de
l’Institut Biblique Pontifical de Rome. Tout en étant curé de paroisse
(Alençon), il enseigne l’Écriture Sainte au Centre d’Etudes Théologiques et au
Séminaire Saint Jean Eudes de Caen.
La vieillesse est imaginée avec infiniment de préci sion poétique par l’auteur
comme :
– la crainte qui gagne le cœur : ma maison est-elle assez bien fermée (au jour
où tremblent les gardiens de la maison) ? Le verset 5 évoque les « frayeurs en
chemin ».
– l’infirmité du vieillard (où se courbent les hommes vigoureux).
– les femmes (où s’arrêtent celles qui meulent). Et moudre le grain évoque le
blé, la vie ; en effet, l’une après l’autre, elles sont saisies soit par
l’infirmité, soit par la mort ; c’est toute une génération qui part.
– c’est enfin toute une série de verbes qui n’évoquent pas tant la mort que la
vieillesse qui est une tragique fermeture sur la vie, de quatre façons nous
dit Qohéleth : « sur la rue », sur le travail de l’homme (la meule), sur la
vie dehors (l’oiseau), sur la vie en société (les vocalises [c’est-à-dire les
chansons] s’éteignent). C’est du grand art !
Quant aux trois derniers versets, avec la même poésie d’une grande précision,
ils évoquent tout simplement la mort qui vient emporter le vieillard. Voyez
combien la vie est précieuse, car elle est décrite comme un fil argenté et une
coupe d’or qui se brise.
A PROPOS DE L'AUTEUR
Loïc Gicquel des Touches, prêtre du diocèse de Séez (Orne), est diplômé de
l’Institut Biblique Pontifical de Rome. Tout en étant curé de paroisse
(Alençon), il enseigne l’Écriture Sainte au Centre d’Etudes Théologiques et au
Séminaire Saint Jean Eudes de Caen.
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