- EAN13
- 9782830952520
- Éditeur
- Labor et Fides
- Date de publication
- 19/04/2023
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Labor et Fides 15,00
Partant sur les traces d'un vieux berger dont la rencontre a marqué sa vie,
l'auteur nous engage à danser par-dessus la faille qui nous sépare du monde
depuis que le langage, l'école et les groupes humains nous ont laissé entendre
que nous n'en faisions pas tout à fait partie. En quête d'un état d'enfance où
l'on ne se pose pas la question de soi et où l'être est parfaitement continu
d'avec tout ce qu'il perçoit, Jean Prod'hom, en poète et en philosophe,
revisite les âges de la vie et suture cette césure au fil d'une grande
randonnée initiatique. On en ressort comme au sommet de sa vie: réconcilié
avec soi-même, remis au monde par le souffle poétique d'un homme nomade et
enraciné. "Parfois, sans crier gare, en des lieux et des temps incertains,
quelque chose s'ébrouait et redonnait au présent son origine et son axe:
c'était une chanson de Riccardo Cocciante sur une terrasse de café ou la
longue courbe d'un chemin à double ornière, les cloches un dimanche matin près
d'un village qu'on aime, l'odeur entêtante de la terre humide ou les parfums
du lilas, une maison abandonnée, un vieux crépi ou une flaque d'eau, un
nuage."
l'auteur nous engage à danser par-dessus la faille qui nous sépare du monde
depuis que le langage, l'école et les groupes humains nous ont laissé entendre
que nous n'en faisions pas tout à fait partie. En quête d'un état d'enfance où
l'on ne se pose pas la question de soi et où l'être est parfaitement continu
d'avec tout ce qu'il perçoit, Jean Prod'hom, en poète et en philosophe,
revisite les âges de la vie et suture cette césure au fil d'une grande
randonnée initiatique. On en ressort comme au sommet de sa vie: réconcilié
avec soi-même, remis au monde par le souffle poétique d'un homme nomade et
enraciné. "Parfois, sans crier gare, en des lieux et des temps incertains,
quelque chose s'ébrouait et redonnait au présent son origine et son axe:
c'était une chanson de Riccardo Cocciante sur une terrasse de café ou la
longue courbe d'un chemin à double ornière, les cloches un dimanche matin près
d'un village qu'on aime, l'odeur entêtante de la terre humide ou les parfums
du lilas, une maison abandonnée, un vieux crépi ou une flaque d'eau, un
nuage."
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