- EAN13
- 9791033606666
- Éditeur
- Artège Editions
- Date de publication
- 02/02/2018
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Artège Editions 14,00
Présenté avant tout comme un pamphlétaire redoutable, l'écrivain Léon Bloy
(1846-1917) occupe la place du « vociférateur » dans le paysage des lettres
françaises ; une lecture approfondie de son oeuvre permet de dépasser cette
approche et d'en dévoiler le coeur : cet homme qui feignait d'avoir « l'air
d'une brute » et qui se méfiait du métier d'écrivain est d'abord un tendre et
un amoureux de la Parole de Dieu. Il est in fine un «contemplateur » à la
recherche de « la secrète douceur lumineuse » qui éclaire toute la Révélation.
Le 14 mars 2013, lors de sa première homélie à la chapelle Sixtine, le pape
argentin François cite Léon Bloy : « Celui qui ne prie pas le Seigneur, prie
le diable. Quand on ne confesse pas Jésus-Christ, on confesse la mondanité du
diable, la mondanité du démon. »
Ainsi, de façon tout à fait singulière, le « Vieux de la Montagne » comme il
aimait à s'appeler retrouve, un siècle après sa mort, la place qui lui
revient: celle d'un grand artiste qui est aussi un guide spirituel parce que
véritable « contemplateur ».
(1846-1917) occupe la place du « vociférateur » dans le paysage des lettres
françaises ; une lecture approfondie de son oeuvre permet de dépasser cette
approche et d'en dévoiler le coeur : cet homme qui feignait d'avoir « l'air
d'une brute » et qui se méfiait du métier d'écrivain est d'abord un tendre et
un amoureux de la Parole de Dieu. Il est in fine un «contemplateur » à la
recherche de « la secrète douceur lumineuse » qui éclaire toute la Révélation.
Le 14 mars 2013, lors de sa première homélie à la chapelle Sixtine, le pape
argentin François cite Léon Bloy : « Celui qui ne prie pas le Seigneur, prie
le diable. Quand on ne confesse pas Jésus-Christ, on confesse la mondanité du
diable, la mondanité du démon. »
Ainsi, de façon tout à fait singulière, le « Vieux de la Montagne » comme il
aimait à s'appeler retrouve, un siècle après sa mort, la place qui lui
revient: celle d'un grand artiste qui est aussi un guide spirituel parce que
véritable « contemplateur ».
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