- EAN13
- 9782370962126
- ISBN
- 978-2-37096-212-6
- Éditeur
- SER éditions
- Date de publication
- 07/2020
- Collection
- BAYS.CHRISTUS
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 22 x 15,5 x 0,7 cm
- Poids
- 166 g
- Fiches UNIMARC
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Christus est une revue d’approfondissement spirituel d’inspiration ignatienne, source de la spiritualité des jésuites. Chaque numéro aborde les différents aspects d’une grande question sous un angle spirituel, avec des contributions d’auteurs reconnus, laïcs ou religieux. Exemples de thèmes récemment abordés : la gouvernance, le sport, le développement personnel, la nourriture…
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S'abandonner
Comme dans la prière de Foucauld « Mon Père, je m’abandonne à toi », l’abandon exprime la confiance en Dieu qui nous aime tels que nous sommes, et dans la capacité de (re)commencer en s’appuyant sur la liberté que donne cette confiance. L’abandon se lit en termes de responsabilité. Responsabilité personnelle : m’abandonner à Dieu c’est commencer à vivre autrement. Responsabilité collective, nos gestes influent sur l’avenir d’un monde fragile. La confiance en l’avenir ouverte par l’Apocalypse nous éclaire : la situation actuelle est déjà jugée, pas d’autre monde ni d’autre progrès que ceux dans lesquels nous sommes acteurs, là où l’Esprit œuvre et appelle. L’abandon à Dieu, s’il est spirituel, ne conduit pas à un ré-enchantement imaginaire du monde. Il fait retentir l’appel évangélique à « perdre sa vie » pour la
« gagner ». A quel abandon le Seigneur nous invite pour une vie plus libre?
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S'abandonner
Comme dans la prière de Foucauld « Mon Père, je m’abandonne à toi », l’abandon exprime la confiance en Dieu qui nous aime tels que nous sommes, et dans la capacité de (re)commencer en s’appuyant sur la liberté que donne cette confiance. L’abandon se lit en termes de responsabilité. Responsabilité personnelle : m’abandonner à Dieu c’est commencer à vivre autrement. Responsabilité collective, nos gestes influent sur l’avenir d’un monde fragile. La confiance en l’avenir ouverte par l’Apocalypse nous éclaire : la situation actuelle est déjà jugée, pas d’autre monde ni d’autre progrès que ceux dans lesquels nous sommes acteurs, là où l’Esprit œuvre et appelle. L’abandon à Dieu, s’il est spirituel, ne conduit pas à un ré-enchantement imaginaire du monde. Il fait retentir l’appel évangélique à « perdre sa vie » pour la
« gagner ». A quel abandon le Seigneur nous invite pour une vie plus libre?
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